La boîte de Pandore



La première femme de l’humanité fut offerte aux hommes pour les punir de leur orgueil. C’est elle qui en ouvrant la boîte a libéré les misères humaines que Zeus y avait enfermées.

Aujourd’hui cette misère est partout : guerre, pornographie, argent roi, pollution, mal bouffe, violence, compétition, divertissement s’échappent de la boîte à toute vitesse.

Elle trône en habit de deuil au milieu des cuisines, des chambres, des salons dans lesquels l’humanité se vautre. On l’appellera « fenêtre sur le monde » lorsque d’un coup de baguette magique les lumières, les images, les flashs, les bruits qu’elle diffuse, nous sortirons de nos rêves, alors sa platitude physique nous réjouira. Sensations factices, plaisirs fugaces, virtuelles illusions, vampirisation des esprits, dématérialisation, abrutissement, peur de l’autre et la vie passe.

Ami, toi qui lis, tu n’as plus de temps à perdre, je t’invite à l’exploration de l’infiniment petit qui doit te permettre de comprendre et d’accepter les contradictions qui s’affrontent dans ce monde ainsi que la diversité qui le compose.












Plus encore, cette exploration de l’infiniment petit doit nous permettre de vivre au présent, car le malheur de l’homme est dans la fuite du présent qui le condamne à espérer de vivre plutôt que de vivre. Le désordre de l’humanité vient de là, c’est pourquoi celui qui ne sait pas observer le “petit” ne pourra jamais accéder “au grand” ou “à l’unité”.

Referme la boîte et regarde, il reste l’Espérance, premier pas vers la conquête de la liberté !










1 commentaire:

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.